24ème conférence mondiale de l’ILGA à Vienne
L’ILGA poursuit ses 30 ans de dialogue avec le mouvement LGBTI international
Crée en 1978 sous le nom IGA, the International Gay Association, l’organisation connue depuis 22 ans sous l’appellation, the International Lesbian and Gay Association sera désormais connue comme étant « ILGA, the International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association » comme voté par les militants LGBTI rassemblés pour la conférence mondiale de l’association à Vienne, Autriche (3-6 novembre 2008).
La conférence, qui a coïncidé avec le 30ème anniversaire de l’ILGA s’est concentrée sur la création d’associations militantes régionales en Afrique, Asie et Amérique latine et a pris ses distances avec la traditionnelle représentation de genre masculin/féminin.
Retrouver l’article complet sur http://www.ilga.org
Les participants de cette conférence ont choisi Rio de Janeiro comme hôte de la vingt-cinquième conférence mondiale qui se tiendra en 2010.
Plus d’information : Stephen Barris ILGA Brussels +32 2 502 24 71
Traduction : Didier Digneffe
L’ILGA publie le rapport 2008 sur l’homophobie d’État
Communiqué de presse
L’ILGA publie le rapport 2008 sur l’homophobie d’État.
Être lesbienne ou gay signifie risquer l’emprisonnement dans 86 pays et la peine de mort dans 7.
Le 17 mai est la Journée internationale contre l’homophobie. L’ILGA, Association Internationale Lesbienne et Gay (International Lesbian and Gay Association) a choisi cette date pour lancer son rapport annuel sur l’homophobie d’État dans le monde, disponible sur www.ilga.org.
Français : http://ilga.org/index.asp?LanguageID=3
Le rassemblement impressionnant de lois présentées dans ce rapport tente de montre l’étendue de l’homophobie d’Etat dans le monde.
En 2008, pas moins de 86 Etats membres des Nations unies criminalisent encore les actes sexuels consensuels entre adultes de même sexe, institutionnalisant ainsi une culture de la haine. Parmi ces derniers, 7 disposent d’une législation dont la peine de mort est la sanction. À ces 86 pays on doit ajouter 6 provinces ou unités territoriales qui punissent également l’homosexualité d’emprisonnement.