Mylène au Stade de France
J’en ai toujours « Rêver » et je ne l’aurais loupé « Sans contrefaçon » cette année : et bien sûr, je n’ai pas « Désenchantée » !!!
Nous avons commencé l’après-midi en matant quelques uns de ces anciens clips en attendant Vincent, un ami de Kael venu pour le concert, puis direction le Stade de France pour un moment tant attendu : on avait acheté les places il y a tout de même plus d’un an !!!
Après de longues minutes d’attente dans la fraîcheur du soir, la scène s’est ouverte sur un œil géant nous faisant … de l’œil , pour finir par s’ouvrir sur Mylène dans une tenue simulant un corps écorché :
« Am Stram Gram »
Le concert s’est ouvert sur quelques titres de « Point de Suture », dont elle a distillé la plupart des titres au cours de la soirée pour finir sur un magistral « Dégénération » suivi de « C’est dans l’air ». Mais on également eu le bonheur d’entendre tous les titres qui ont fait son succès au cours des 25 dernières années : « Sans Contrefaçon », » Libertine », « Pourvu qu’elle soit douce » , « XXL » , sans oublier le rappel avec « Désenchantée » : un pur bonheur pour les fans que nous sommes :
« Libertine »
Mais un concert de Mylène sans une Mylène en pleurs ne serait plus un vrai concert de la rousse, nous avons donc eu droit à notre grand moment d’émotion avec la star française au cœur de la foule accompagnée au piano par un Yvan Cassar, talentueux au piano et bien plus intéressant que ses interventions à la Star Ac’ :
« Rêver »
Vous l’aurez compris, on a adoré !!!
Personnellement, j’ai résumé cette soirée à cette phase à un couple d’amies qui étaient aussi venues hier soir :
« Je peux mourir ce soir maintenant que j’ai vu Mylène en concert !!! »
Comments
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Eh oui très cher Kriss, tu nous a dit que tu pouvais maintenant faire, mais attends encore un peu !
As tu entendu le speaker du Stade parlé d’une certaine Catherine descendant les escaliers d’une manière particulière ???
Nous vous embrassons tout bien fort
Vive Mylène. Trop mortel le concert. J’ai particulièrement adoré ce moment de mélancolie où elle a chanté des chansons douces, tristes accompagnée magistralement par le pianiste au cheveux « gros comme ça ». Je rigole mais c’était génial…